
Mudam Luxembourg – Musée d'Art Moderne Grand-Duc Jean
Park Dräi Eechelen
L-1499 Luxembourg
Dans le cadre de l’exposition collective A Model, Jason Dodge (1969, Newtown, Pennsylvanie) a été invité à concevoir un épilogue. Tomorrow, I walked to a dark black star prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.
Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
Les choses – ces traces – qui composent l’œuvre de Dodge nous rappellent que le corps et l’esprit ne sont pas séparés, que nos corps interagissent et font partie d’autres systèmes et organismes. Dodge met en scène une expérience partagée où les causes et les effets, le contact et le lâcher-prise, font partie d’un même cercle. Les gestes de l’artiste rendent étranges ces résidus familiers, parfois insignifiants. L’exposition T...
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
Les choses – ces traces – qui composent l’œuvre de Dodge nous rappellent que le corps et l’esprit ne sont pas séparés, que nos corps interagissent et font partie d’autres systèmes et organismes. Dodge met en scène une expérience partagée où les causes et les effets, le contact et le lâcher-prise, font partie d’un même cercle. Les gestes de l’artiste rendent étranges ces résidus familiers, parfois insignifiants. L’exposition T....prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.
Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
, Jason Dodge (1969, Newtown, Pennsylvanie) a été invité à concevoir un épilogue. Tomorrow, I walked to a dark black star prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
, Jason Dodge (1969, Newtown, Pennsylvanie) a été invité à concevoir un épilogue. Tomorrow, I walked to a dark black star prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
Les choses – ces traces – qui composent l’œuvre de Dodge nous rappellent que le corps et l’esprit ne sont pas séparés, que nos corps interagissent et font partie d’autres systèmes et organismes. Dodge met en scène une expérience partagée où les causes et les effets, le contact et le lâcher-prise, font partie d’un même cercle. Les gestes de l’artiste rendent étranges ces résidus familiers, parfois insignifiants. L’exposition T...
., Jason Dodge (1969, Newtown, Pennsylvanie) a été invité à concevoir un épilogue. Tomorrow, I walked to a dark black star prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
Les choses – ces traces – qui composent l’œuvre de Dodge nous rappellent que le corps et l’esprit ne sont pas séparés, que nos corps interagissent et font partie d’autres systèmes et organismes. Dodge met en scène une expérience partagée où les causes et les effets, le contact et le lâcher-prise, font partie d’un même cercle. Les gestes de l’artiste rendent étranges ces résidus familiers, parfois insignifiants. L’exposition T...
, Jason Dodge (1969, Newtown, Pennsylvanie) a été invité à concevoir un épilogue. Tomorrow, I walked to a dark black star prend la forme d’une exposition monographique au sein d’une exposition de groupe.Un épilogue désigne généralement un discours ou un fragment de texte insérés à la fin d’une pièce de théâtre ou d’un livre, donnant un bref aperçu de ce qu’il arrive aux personnages après la fin de l’histoire. En tant qu’épilogue, l’exposition devient tout à la fois médium, objet et sujet, à travers lesquels interroger conjointement la manière dont nous percevons les choses et ainsi les transformons. Cette approche inhabituelle de l’exposition, consistant à venir ajouter l’œuvre d’un artiste à une exposition déjà en place, permet d’explorer les potentiels de l’exposition collective et de l’exposition monographique, tout en troublant et prolongeant leurs enjeux et temporalités respectifs.
Jason Dodge s’intéresse au paysage auquel nous faisons face et au paysage de nos vies, entendu comme ce que nous possédons, ce à quoi nous pensons, les personnes auxquelles nous nous lions et celles que nous tenons à distance – les choses qui composent cette œuvre sont directement issues d’un paysage élaboré collectivement. Imaginez une poche que l’on aurait vidée au hasard, on pourrait y trouver les traces de notre existence dans des bouts de papier, quelques pièces de monnaie, un ticket quelconque, un peu de poussière, autant de preuves que l’on était là, vivant·e.
Les choses – ces traces – qui composent l’œuvre de Dodge nous rappellent que le corps et l’esprit ne sont pas séparés, que nos corps interagissent et font partie d’autres systèmes et organismes. Dodge met en scène une expérience partagée où les causes et les effets, le contact et le lâcher-prise, font partie d’un même cercle. Les gestes de l’artiste rendent étranges ces résidus familiers, parfois insignifiants. L’exposition T...
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